4.
Lu et approuvé, obéissez à l'obligation ; Lu et approuvé, les murs de votre maison sont trop obscurs, y a-t-il une cave ? que dissimulez-vous ? nous savons que vous présentez un risque potentiellement sécuritaire
5.
la burqa n'est pas sur le visage
la burqa est singulière, longue, inattaquable par la loi.
7.
que lisez-vous ? des lectures dangereuses ?
que faites-vous ? comment le faites-vous ?
le faites-vous souvent ? êtes-vous aidé ? et vos fréquentations ?
vous venez souvent, là. vous tirez les rideaux très tôt le
soir ; votre maison est une burqa, pas moyen de savoir
vraiment
ce qui se passe, entre les murs, danger,
maison potentiellement sécuritaire. maison burqa.
foyer potentiellement sécuritaire.
8.
il dit : pas de burqa car "nous ne vous faisons pas confiance" mais nous avons
un projet de société ; contraignant, vous présentez un risque potentiellement sécuritaire, nous devons vous voir ; nous vous ordonnons d'être vu, d'être visible, d'être déchiffrable, pas cagoulé, pas vous, vous devez être lisible, être compréhensible. Lu et approuvé pour rester lisible.
14.
désapprobation du voile. désapprobation de l'interdiction, du prêt-à-penser
sécuritaire. facilité de pensée de principe, de l'utilisation de la peur, simplisme. donner raison à la demande de "réfléchir".
15.
Sur le fond, " si une loi interdit la burqa, ces femmes auront toujours la burqa (...)". oui. dans mon pays, le silence du visage parle comme son sourire seul. est un premier soleil. pas en vie de vivre sans visage.
_____________
A.
Le député-maire socialiste d'Evry, Manuel Valls, a réaffirmé qu'il souhaitait une loi pour interdire le voile intégral et a estimé que la sanction contre son port pourrait être fixée à 750 euros, comme l'a proposé Jean-François Copé, patron des députés UMP.
"Il faut une loi pour interdire la burqa dans l'espace public, même si cela ne concerne que quelques centaines ou quelques milliers de femmes" car il s'agit d'"un message de portée universelle" adressée par la France, a affirmé M. Valls sur France Info.
La première secrétaire du PS, Martine Aubry, a réitéré mardi son opposition à une loi estimant que le droit actuel permettait d'"empêcher" le port de la Burqa. En revanche, le Premier ministre, François Fillon, s'est rallié mardi au principe d'une loi. Jean-François Copé avait estimé la semaine dernière que son port pourrait être passible d'une "contravention, probablement de 4ème classe, c'est-à-dire de 750 euros".
B.
Burqa: Martine Aubry "demande de réfléchir" et ne pas oublier "les priorités" des Français AFP | 19.06.2009 | 09:58
"Je demande qu'on essaie de réfléchir de la manière la moins simpliste possible" sur le port de la burqa, a déclaré vendredi la Première secrétaire du PS Martine Aubry, tout en jugeant que les Français ont d'autres "priorités".
"C'est un vrai sujet, je demande qu'on essaie de réfléchir de la manière la moins simpliste possible", a souligné Martine Aubry sur RMC-Info/BFM-TV. "Je voudrais trouver les bons moyens de lutter contre, et pas une réponse simpliste pour se faire plaisir et faire peur, alors que nous avons à mettre toutes nos énergies pour que les Français vivent mieux", a-t-elle souligné.
"Il y a aujourd'hui des priorités: faire une enquête parlementaire pour savoir ce qu'ont fait les banques de l'argent qu'on leur a confié, le nombre d'entreprises qui licencient pour augmenter leurs résultats financiers et non pas parce qu'elles ont des difficultés économiques", a-t-elle avancé. "Voilà ce que nous demandent les Français, n'essayons pas de changer de terrain".
Sur le fond, " si une loi interdit la burqa, ces femmes auront toujours la burqa mais elles resteront chez elle et on ne les verra plus: est-ce qu'il ne faut pas travailler par l'éducation, par l'insertion de ces populations par un grand débat sur la laïcité?", a avancé la maire de Lille, qui est "évidemment contre la burqa".
A.
Le député-maire socialiste d'Evry, Manuel Valls, a réaffirmé qu'il souhaitait une loi pour interdire le voile intégral et a estimé que la sanction contre son port pourrait être fixée à 750 euros, comme l'a proposé Jean-François Copé, patron des députés UMP.
"Il faut une loi pour interdire la burqa dans l'espace public, même si cela ne concerne que quelques centaines ou quelques milliers de femmes" car il s'agit d'"un message de portée universelle" adressée par la France, a affirmé M. Valls sur France Info.
La première secrétaire du PS, Martine Aubry, a réitéré mardi son opposition à une loi estimant que le droit actuel permettait d'"empêcher" le port de la Burqa. En revanche, le Premier ministre, François Fillon, s'est rallié mardi au principe d'une loi. Jean-François Copé avait estimé la semaine dernière que son port pourrait être passible d'une "contravention, probablement de 4ème classe, c'est-à-dire de 750 euros".
B.
Burqa: Martine Aubry "demande de réfléchir" et ne pas oublier "les priorités" des Français AFP | 19.06.2009 | 09:58
"Je demande qu'on essaie de réfléchir de la manière la moins simpliste possible" sur le port de la burqa, a déclaré vendredi la Première secrétaire du PS Martine Aubry, tout en jugeant que les Français ont d'autres "priorités".
"C'est un vrai sujet, je demande qu'on essaie de réfléchir de la manière la moins simpliste possible", a souligné Martine Aubry sur RMC-Info/BFM-TV. "Je voudrais trouver les bons moyens de lutter contre, et pas une réponse simpliste pour se faire plaisir et faire peur, alors que nous avons à mettre toutes nos énergies pour que les Français vivent mieux", a-t-elle souligné.
"Il y a aujourd'hui des priorités: faire une enquête parlementaire pour savoir ce qu'ont fait les banques de l'argent qu'on leur a confié, le nombre d'entreprises qui licencient pour augmenter leurs résultats financiers et non pas parce qu'elles ont des difficultés économiques", a-t-elle avancé. "Voilà ce que nous demandent les Français, n'essayons pas de changer de terrain".
Sur le fond, " si une loi interdit la burqa, ces femmes auront toujours la burqa mais elles resteront chez elle et on ne les verra plus: est-ce qu'il ne faut pas travailler par l'éducation, par l'insertion de ces populations par un grand débat sur la laïcité?", a avancé la maire de Lille, qui est "évidemment contre la burqa".
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