dimanche 31 janvier 2010

s'agissant,

j'ai vu ses portions de mer, j'ai vu son métro raconteur d'histoires, un ballon sur la tête, j'ai vu ses couloirs en arrondi, ses arbres accrochés à la route, j'ai vu son échelle au bas de l'escalier, sans préalable ,et avec minutie j'ai vu sa plage avec l'écran, la jetée dans l'écran, des morceaux de route la nuit, le taxi de ses poignets, j'ai vu le vent convois ses rivages sur le dos de jamais, j'ai vu les flaques pour ses pieds, les cailloux à ses chemins, j'ai vu ses silhouettes à matin au linge des fenêtres, j'ai vu des curieux encombrés, ses bâteaux longs tout aussi, îvres que ses reflets dans un port aérien, j'ai vu sa table dans les reflets du port, j'ai vu le soir à table dans le pont, les matières du port dans le pont, son sourire du pont dans le port (de ses yeux), son sourire sur un oiseau, un bâbord, j'ai vu ses couteaux rangés d'avirons sous les planches, où sa taille au ponton, j'ai vu ses portions de territoire à pieds, ses frontières à marcher, ses ruisseaux qui courent à cause du chien, le chat de jardin sa vallée, j'ai vu ses bougies du soir. / et du demain à la main.

samedi 30 janvier 2010

15h00

___________
1888, universum.

vendredi 29 janvier 2010

dearest,

j'ai vu le soir se lever quand ils rentraient, fatigués. des rues toujours étroites. j'ai vu un escalier avec une porte d'entrée difficile à trouver. des oiseaux qui remuent les assiettes, un sac abandonné, une boite pleine de chats, une boite avec des assiettes. vaisselle propre et sale. choisir un bol, un petit vase, à coté d'un baiser. j'ai vu le soir se coucher, une longue allée, un enfant passe avec ses armes. les arbres étirés, ça doit craquer, avec une grammaire quand on marche, on invente la conjugaison d'un danseur, la terrasse du mois de Mai. peindre, découperait-elle un morceau de paysage ? son sac est inconnu, j'ai lu son coeur sur sa boite aux lettres. j'ai vu son bouddha, c'est l'heure : j'ai vu une photo noir et blanc du bouddha, j'ai emporté le visage du bouddha dans l'allée. avec elle, un repas c'est un compte-rendu en forme de boite avec des miettes, j'attends le taxi de la mer, le biscuit d'une maison, le sourire d'un quai. enjambe très régulièrement le taxi, fonce dans la nuit avec. / ses poignets.

mercredi 27 janvier 2010

Scooter,


Un piano est un espace extérieur et intérieur, clos et délimité où l'on cultive des jardins arabes, perses, européens, indiens, japonais ... , dotés selon l'usage de mers, de fleurs, d'arbres fruitiers ou d’ornements, d'herbes folles, de découpages, de boulevards et de Mi. Le terme piano est également accepté pour un espace au profil en développante ou en cercle. les dentures sont droites ou hélicoïdales. De même, les lignes musicales jouées à la Renaissance se subdivisent en jours à fils tirés (Couperin) et jours à fils serrés. Les préférences pianistiques sont nombreuses et particulièrement singulières. Il le sait mais préfère, invariablement, la toile de lin ou de coton, dessine des figures au bord festonné raccordées entre elles par des brides. Toujours simples, en broderie Richelieu, ornées de picots tirés ou serrés, d'engrenages à axes parallèles, à axes concourants, à axes non concourants sur l'emplacement desquels a été rebati l'actuel édifice. / et le son du piano.

mardi 26 janvier 2010

Léo Lafarges /

Pratique du continuo, il complète, enfant, l'harmonie, en fonction des chiffres notés sous les accords lorsqu'il y en a, les notes de tabac et de dégustation donnent lieux à de nombreux traités concernant la façon dont étaient réalisées les notes exceptionnelles de cette l'époque. Léo Lafarges, de son nom d'état civil Léo Jehan Maximin Lafarges, est né à Boule d'Amont en 1750 dans une famille de la petite bourgeoisie du Béarn. Son père, Jehan Lafarges se replie sur une exploitation vinicole d'un hectare dans laquelle son fils va passer son enfance. C'est une époque où il connaîtra, non pas encore la poésie, mais peut-être une réalité du continuo. Sa mère, Once Barsanza, s'occupe de l'éducation des deux enfants : Léo l'aîné, et Maximin qui devint amiral, député, et musicien. / accompli.

lundi 25 janvier 2010

Sympa )

ceci étant dit, je viens de lire un petit livre plutôt sympa, ça le fait assez bien même, non ?

Entre mes mains de Anne-Constance Vigier
Une Américaine instruite de John Cheever
Le Vice-Consul de Marguerite Duras
La boucle de Jacques Roubaud
Survivance des lucioles de Georges Didi-Huberman
La mer de John Banville
Pourquoi êtes-vous pauvres ? de William T. Vollmann
Présences d'été de Taichi Yamada
Territoire de la lumière de Yûko Tsushima
Une femme à Berlin. Journal. (20 avril- 22 juin 1945)
Le roman, quelle invention ! (Assises du roman)
Bleu de fuite de François Emmanuel
Autoportrait de Edouard Levé
Tokyo-Montana express de Richard Brautigan
Les eaux territoriales de Francis Dannemark
Un roi sans divertissement de Jean Giono
Soulfood équatoriale de Léonora Miano
Le vampire de Ropraz de Jacques Chessex
Panégyrique de Guy Debord
De la décence ordinaire de Bruce Bégout
Oui de Thomas Bernhard
Vie du lettré de William Marx
Un petit viol/un autre petit viol de Ludovic Degroote
Passagers clandestins de Timothy Findley
Préférences de Julien Gracq
Le vide et le plein de Nicolas Bouvier
Entre les actes de Virginia Woolf
La maison rectangulaire de Héléna Villovitch
carnets du voyage en chine de Roland Barthes
Une Américaine instruite de John Cheever
Le Vice-Consul de Marguerite Duras
Un roi sans divertissement de Jean Giono
Soulfood équatoriale de Léonora Miano
La vie commune (Essai d'anthropologie générale) de Tzvetan Todorov
Une musique en train de se faire de Pascal Dusapin
Mitsuba de Aki Shimazaki
Oeuvres de Roger Caillois
Le goût de l'archive de Arlette Farge
Du côté de chez Swann de Proust
Trois quartiers de Valérie Mréjen
Le wagon à vaches de Georges Hyvernaud
Tokyo de Eric Sadin
Villa Amalia de Pascal Quignard
Théorie des tables de Emmanuel Hocquard
Un nid pour quoi faire de Olivier Cadiot
Un art moyen (essai sur les usages sociaux de la photographie) de Pierre Bourdieu
La peau et les os de Georges Hyvernaud
Le rideau de Milan Kundera
Verbicide de Christian Salmon
Corniche Kennedy de Maylis de Kerangal
Les laboratoires du temps de Alain Flescher
Vestiaire de l'enfance de Patrick Modiano
Parlez-moi d'amour de Raymond Carver
Simplement compliqué de Thomas Bernhard
Opium pour Ovide de Yoko Tawada
L'arbre du voyageur de Hitonari Tsuji
Scènes de la vie d'un faune de Arno Schmidt
Le chiendent de Raymond Queneau
Temps variable de François Laut
Les vitamines du bonheur de Richard Carver
Sa majesté des mouches de William Golding
Mon amour, ma vie de Claudie Gallay
Quelques nobles causes pour rébellions en panne de Eric Faye
Maria avec et sans rien de Joan Didion
Comme un fracas de Jacques-Henri Michot
Quelques nouvelles de l'homme de Eric Faye
Opium pour Ovide de Yoko Tawada
L'arbre du voyageur de Hitonari Tsuji
Scènes de la vie d'un faune de Arno Schmidt
Le chiendent de Raymond Queneau
Le train du matin de André Dhôtel
Regardez-moi de Anita Brookner
La fille d'Agamemnon de Ismaël Kadaré
13 histoires de William Faulkner
Triptyque de Claude Simon
Correspondance avec sa mère de Marcel Proust
La robe de Robert Alexis
Comme un fracas de Jacques-Henri Michot
Quelques nouvelles de l'homme de Eric Faye
Les figures de Robert Alexis
Nous avons toujours habité le château de Shirley Jackson
13 histoires de William Faulkner

dimanche 24 janvier 2010

TRENT 700




son coeur à Dogger allure les biens des vies de la mer et sur la côte en ses domaines océaniques

où partager sa surface en profondeur

à quai son domaine est grand large
avec un sommaire , une description, des exemples, des notes, des liens et des sources

à ses poignets /
elle est apothicaire et précurseur de pharmacien

avec un clavicorde une viole dans ses cheveux
de L'où fait la prévision musicale
par secteurs, une bande plus proche du

coeur septentrional.

par exemple, c'est le proche du bassin où
s'étend le long de son corps à 20 milles marins et dans ses cours
d'eau navigables il est le domaine de son pays.

découvre que la pression diminue avec l'altitude et en déduit qu'il y a un vide au-delà de l'atmosphère.
cartographie ses alizés et en déduit que les changements sont causés par le réchauffement

il est le premier à prendre en compte la rotation de la mer pour
expliquer ses féminines alizés

prédisant au sens conventionnel que suit le baiser venant de la haute mer
lorsqu'approchant d'un estuaire ou d'une autre voie d'eau marque bâbord

cylindrique, charpente ou espar, voyant :
1 cylindre rouge, feu rouge rythmé.
Marques tribord (laissé à tribord en suivant le sens conventionnel):
couleur : verte, forme de la bouée :
conique, charpente ou espar, voyant :
un cône vert feu : vert rythmé.

L'où pour tels que les nuages et les précipitations dans le but de comprendre
comment elles se forment et évoluent du grec antique où meteor

à coeur l'articule principalement à purement descriptif.

établissant de réduire tout risque d'abordage danse dans les deux sens, et dans les zones où
se croisent apothicaire importants de détroits, caps,

tentant d'effectuer ce périple le plus rapidement possible,
essayant de réduire la distance

et, coupent au plus court. de nombreuses collisions ont lieu dans les zones de changement de route à forte densité de multiplier les possibilités d'abordage

avec un sommaire , une description, des exemples, des notes et des liens
internes et des sources à ses baisers.

samedi 23 janvier 2010

F 1 à 6.

Une maison est agréable et confortable, avec un amat de tuyaux, de fils, d'étagères. Il y a beaucoup de chemises, marches, farine, portes, moquette et chaussures. Elle est agrémentée notamment d'un jardinet, de lavabos, d'herbes, de fleurs et de quelques arbres (il existe un nombre incalculable de type d'arbres).

La maison est utilisée pour sécher, dormir et nettoyer, lire et écrire des textes sur les maisons. D'autres occupations dégourdies désignent le lieu de la maison construite avec des matériaux armés ou traditionnels.

La surface de la maison en France est généralement comprise entre 11 et 150 m², de plain-pied ou avec 1 à 3 niveaux. Les fenêtres des maisons sont souvent ouvertes pendant la période individuelle de l'été. La maison est dite résidence principale, si les occupants y résident plus longtemps. Sinon il s'agit de résidence secondaire si elle est destinée aux périodes de repos à l'exception de la nuit et du temps lié au dormir (en temps normal).

L'usage d'habitation ne comporte pas de nombreux logements par habitant. Historiquement, une fonction multi-génération pour la famille au sens large est permis à l'étage principal pour le maître de maison ou chef de famille (seul le béton est armé) et l'étage supérieur est à l'aîné, alors que les étages supérieurs sont prévus pour les autres frères (ou soeurs).

Ce que l'on retrouve dans nombre de pays permet la construction plus facile de l'étage supérieur pour le (ou les) enfants, le lieu qui est agréable et confortable mis à part l'amas de tuyaux, et les emplacements de séchage.

jeudi 21 janvier 2010

Charles Delouart /


Son père, Dominique Delouart, était un marchand aisé de Montfort, doué en calcul. Ce bourgeois et second consul de la ville est connu comme ingénieur, amateur de cuir (et autres denrées précieuses) ; il s'est marié successivement à Françoise Lamartine, fille d'un marchand très aisé (et ce jusqu'en 1603 au moins), puis à Hélène L'Espagne de Long, fille du seigneur Clément L'Espagne de Long. On ne sait cependant laquelle de ces deux femmes fut la mère de cet homme réservé. Plusieurs actes témoignent de la naissance d'un enfant du nom de Dimitry, l'un baptisé le 31 novembre 1605, l'autre durant l'année 1685.

La maison où est né le poète, et qui abrite de nos jours un marché avec un grand orgue, est une maison familiale occupée, de 1577 à 1707, par quatre générations de Delouart. Pour autant, on ne sait pas davantage où Charles Délouart a effectué ses études primaires, ses premiers apprentissages en musique et en poésie. Par la suite, il fait des études à Bordeaux et de droit à Orléans.

Delouart fait partie, avec Louis Tulirt, Arthur Rudey, Germaine de la Pierre du groupe de poètes que le critique Pascal Emile surnommera en 1850 le Groupe des Trois, en référence au Groupe de Lisbonne. Leur esthétique commune, influencée par de Saint-Flores et Marteau, est une réaction contre le courant figuratiste. Le Groupe des Trois a créé une seule œuvre collective : un recueil pour le clavicorde.

Charles Delouart est poète. Il s'interroge. Il regarde au fond quand arrive la fin. Il sait qu'il l'aime ; née dans un milieu bourgeois financier et conformément à la volonté de sa mère, elle travaille sérieusement le chant, elle sait que tout est chant. Celle qu'il aime, n'est pas figurative.

mercredi 20 janvier 2010

de Saint-Flores (II) ...


de Saint-Flores n'aime pas la mousse négligée, les vieilles pierres blanches, un peu trop poncées.

il s'imagine bien tamiser la poudre d'amandes, la farine et le sucre. il s'imagine bien lui dire de monter en neige. pourtant. il se verrait si bien voyager.

de Saint-Flores verse le mélange tamisé sur les blancs en neige. Mélanger délicatement c'est son affaire ; comme dresser dans un cercle et en sortir. cuire et faire fondre au bain-marie, c'est toujours mieux que contempler trop de mousse pense-t-il.

la toile de Saint-Flores est un vieux rêve ; c'est son vieux rêve. pour elle. une étoffe de coton dite indienne sur laquelle serait représentés des femmes avec décors ou des chevaux de cuisine royale. Les dessins seraient le plus souvent monochromes, rouges ou aubergine sur fond écru ou bistre mais pourraient se décliner dans d'autres coloris, rose, marine, vert clair ou gris.

de Saint-Flores le sait, il est rêveur, trop imaginatif. ailleurs. un homme ouvrant toutes les portes possibles sur un jardin de mousse et de vieilles pierres. il l'aime. il le sait. lui offrir un jardin dans un cercle, ou dans un drap. une sorte de vallée.

mardi 19 janvier 2010

de Saint-Flores ...

Honoré de Saint-Flores, comte de Saint Flores, plus communément appelé Saint-Flores, né le 9 mars 1749 à Ansfelden, mort le 9 mars 1799 à Paris, fut simultanément professeur d'harmonie et de contrepoint au Conservatoire de Paris, ainsi qu’écrivain, diplomate, franc-maçon, peintre et homme politique.

Huitième enfant et second fils de William de Saint-Flores, marquis de Saint-Flores, économiste de renom (voir la dite théorie de), et de Marie-Eléonore de Breuille, Saint-Flores est issu d'une famille de la noblesse parisienne.

Selon Claude Victoire, Saint FLores était d'une « laideur grandiose et fulgurante ». Il est né avec un pied tordu, trois grandes dents et surtout une tête énorme. Avant de présenter l'enfant à son père, la nourrice le prévint : « Ne vous effrayez pas ». Et l'accoucheur d'ajouter : « Il aura beaucoup de peine à s'exprimer ».

À l'âge de quatre ans, il fut défiguré par une petite vérole mal soignée ; son visage en garda de profondes cicatrices. Son enfance fut marquée par la sévérité de son père qui n'avait pas d'affection pour lui. En 1754, celui-ci écrira au bailli de Saint-Flores son frère : « Ton neveu est laid ».

En 1768, il est incorporé au Choeur des Chapelles de Chaumont mais contracte des dettes, ce qui provoque de nouveau la colère de son père. Il gagne une réputation de libertinage. Après avoir participé au Choeur des Chapelles de 1768-1769, il épousa Joséphine, fille du puissant marquis de Trancourt, qui avait refusé sa main au comte de Chappuis. Ils eurent un fils mort en bas-âge.

Celle-ci demanda la séparation de corps en 1782 et fut défendue par celui qui deviendra par la suite l’un des rédacteur du Traité de Registration : Jean Paul de Vances. Saint-Flores défendit sa propre cause dans ce procès qu’il perdit par ailleurs, tenant à jamais rancune contre de Vances.

Pour le soustraire à ses créanciers son père le fit plusieurs fois enfermer au fort Boyard, et finalement exiler au château de Citi, en Franche-Comté, d’où il s’enfuit aux Provinces-Unies avec sa maîtresse, Marie-Anne de Furrey, épouse du marquis de Nommier, président de la chambre des comptes de Draguignan.

En 1776, dans sa fuite, il publie son Essai sur le contre-point qui fait état des dernières dissonances des Querelles des Bouffons : « la dissonance n’est pas une forme d'harmonie (...) s’il en était ainsi, ce serait un brigandage et contre lequel tous les hommes doivent se liguer.»

Saint-Flores fut condamné à mort par contumace, puis extradé et emprisonné au château de Chaumont de 1777 à 1780. Il y écrivit des lettres, publiées après sa mort sous le titre de Lettres à Marie-Anne, chef d’œuvre de la littérature passionnée ainsi qu’un virulent libelle contre l’arbitraire de la pluie et du beau temps.

Il n'aura pas l'occasion de se rendre à Berlin pour les représentations de ses œuvres. Sa troisième symphonie demeure inachevée. Il repose à l'entrée de l'église de Saint-Patrick, sous le grand-orgue. C'est au cours des travaux de terrassement entrepris pour construire la crypte que l'on a découvert 6 000 squelettes provenant, sans doute, du Choeur des Chapelles de l'époque des Huns. Ainsi, les crânes minutieusement alignés semblent admirer, dans un silence absolu et impressionnant.

lundi 18 janvier 2010

dimanche 17 janvier 2010

samedi 16 janvier 2010

du débat sur deux mots (III)


_cheval. le compteur des comptoirs. commentaires sur commentaires. statistiques sur commentaires des commentaires. abonnez-vous. discussion de comptoir. vérité. cacophonie générale. remue-méninge. le cheval est institué. le ministre du remue-méninge. grand orchestre. l’analyse TNS SOFRES des contributions reçues sur le site. de toute façon.

accueil | Espace presse | Modération. Ministère de limmigration, de lintégration, de lidentité nationale et du développement solidaire. Grand débat sur l'identité nationale. LE GRAND DÉBAT ACTUALITÉS ILS PRENNENT POSITION VOS CONTRIBUTIONS VIDÉOTHÈQUE VU D'AILLEURS TEXTES DE RÉFÉRENCE POURQUOI UN GRAND DÉBAT. Qu'est-ce qu'être français aujourd'hui ? > Lire la suite Le grand débat mode d'emploi > Infos pratiques : « pourquoi un grand débat sur l'identité nationale ? » QU'EST-CE QU'ÊTRE FRANÇAIS ? Analyse par TNS Sofres des contributions postées par les internautes

_l'harmonie la discordance. précipitation. grand débat sur l'Univers. il sera la somme des voix du plus grand nombre. cheval. a-t-on besoin du cheval ?

consultez CONTRIBUEZ AU DEBAT : Retrouvez des contributions pour entrer dans le débat > Accédez au forum LES CONTRIBUTIONS QUI FONT DEBAT 15 cultivons-nous ! Hé bien moi c’est peut être à cause de tout ce que...... L > Commenter > Noter 12 le socle de l'identité française Je préfère insister selon le fait qu' être...... F. > Commenter > Noter 11la fin du temps des Nations La crise identitaire qui est l'objet de ce débat est...... L. > Commenter > Noter 9 Patrie Ce qui est assez surprenant dans votre débat et cela...... M.

_que fait-il ? et s'il n'était pas plus utile qu'un ami ? le président du compteur des comptoirs. le cheval est au comptoir, commentaires sur commentaires.

COMMENTER : Noter PARTICIPEZ AUX DEBATS LOCAUX Sélectionnez un lieu ou une date pour découvrir les débats locaux > Toute l'info sur les débats locaux FIL D'INFOS 12/01/2010 Remise la contribution du Haut Conseil(...) 09/01/2010 Contribution de député, Vice-Président du Conseil Général (...) w07/01/2010 Discours de la République au colloque « Nouveau (...) 05/01/2010 L’analyse TNS SOFRES des contributions reçues sur le site Internet est (...) 05/01/2010 il Communiqué de presse - il participe à une réunion à la Cité le 04/01/2010 il Conférence de presse - il Point d’étape du grand il débat sur (...) il VU D'ICI, il VU D'AILLEURS > Voir toutes les il vidéos ILS PRENNENT POSITION > il Citations des personnes il publiques LES CONTRIBUTIONS LES VIDEOS LES PLUS VUES il.

_avis non autorisés : intervention du ministre From: ministère immigration | 1 novembre 2009 | 34076 vues : débat d'opinion rétorque le cheval.

consultez CONTRIBUEZ AU il DEBAT : Retrouvez des contributions pour entrer dans le débat > Accédez au forumLES CONTRIBUTIONS QUI FONT DEBAT 15 cultivons-nous ! Hé bien moi c’est peut être à cause de tout ce que...... L > Commenter > Noter 12 le socle de l'identité française Je préfère insister selon le fait qu' être...... F. > Commenter > Noter 11 la fin du temps des Nations La crise identitaire qui est l'objet de ce débat est...... L. > Commenter > Noter 9 Patrie Ce qui est assez surprenant dans votre débat et cela...... M.

_ il cheval promesse cheval fait pour il efficace, faire ; vite et bien faire. projet ne retenir que verbes. car verbe c'est il faire. il faire identité nationale. remue-méninge, présentation il conférence de presse. bouclage ceinture. facies perdre il présentation. il faut faire après l'assez parlé qui éviter le sert à rien / remue-méninge moqué du cheval / la tranchée fait le cheval, guerre de : alors, faire il promesse puis il promesse faire cheval, conférence de presse : consultez CONTRIBUEZ Retrouvez entrer Accédez FONT cultivons peut Commenter Noter préfère insister Commenter Noter est est Commenter Noter est COMMENTER : Noter PARTICIPEZ Sélectionnez découvrir participe.

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vendredi 15 janvier 2010

du débat sur deux mots (II)

L*s R*prés*nt*nts *u P*upl* Fr*nç*is, *onstitués *n *ss*m*lé* n*tion*l*, *onsi*ér*nt qu* l’ignor*n**, l’ou*li ou l* mépris **s *roits ** l’homm* sont l*s s*ul*s **us*s **s m*lh*urs pu*li*s *t ** l* *orruption **s Gouv*rn*m*nts, ont résolu *’*xpos*r, **ns un* *é*l*r*tion sol*nn*ll*, l*s *roits n*tur*ls, in*lién**l*s *t s**rés ** l’homm*, *fin qu* **tt* *é*l*r*tion, *onst*mm*nt prés*nt* à tous l*s m*m*r*s *u *orps so*i*l, l*ur r*pp*ll* s*ns **ss* l*urs *roits *t l*urs **voirs ; *fin qu* l*s **t*s *u pouvoir législ*tif, *t **ux *u pouvoir *xé*utif pouv*nt êtr* à *h*qu* inst*nt *omp*rés *v** l* *ut ** tout* institution politiqu*, *n soi*nt plus r*sp**tés ; *fin qu* l*s ré*l*m*tions **s *itoy*ns, fon*é*s *ésorm*is sur **s prin*ip*s simpl*s *t in*ont*st**l*s, tourn*nt toujours *u m*inti*n ** l* *onstitution, *t *u *onh*ur ** tous. *n *onséqu*n**, l’*ss*m*lé* n*tion*l* r**onn*ît *t *é*l*r*, *n prés*n** *t sous l*s *uspi**s ** l’Êtr* Suprêm*, l*s *roits suiv*nts ** l’homm* *t *u *itoy*n.

*rti*l* pr*mi*r
L*s homm*s n*iss*nt *t **m*ur*nt li*r*s *t ég*ux *n *roits. L*s *istin*tions so*i*l*s n* p*uv*nt êtr* fon*é*s qu* sur l’utilité *ommun*.

*rti*l* II
L* *ut ** tout* *sso*i*tion politiqu* *st l* *ons*rv*tion **s *roits n*tur*ls *t impr*s*ripti*l*s ** l’homm*. **s *roits sont l* li**rté, l* propriété, l* sûr*té *t l* résist*n** à l’oppr*ssion.

*rti*l* III
L* prin*ip* ** tout* Souv*r*in*té rési** *ss*nti*ll*m*nt **ns l* N*tion. Nul *orps, nul in*ivi*u n* p*ut *x*r**r *’*utorité qui n’*n ém*n* *xpr*ssém*nt.

*rti*l* IV
L* li**rté *onsist* à pouvoir f*ir* tout ** qui n* nuit p*s à *utrui : *insi l’*x*r*i** **s *roits n*tur*ls ** *h*qu* homm* n’* ** *orn*s qu* **ll*s qui *ssur*nt *ux *utr*s M*m*r*s ** l* So*iété, l* jouiss*n** ** **s mêm*s *roits. **s *orn*s n* p*uv*nt êtr* *ét*rminé*s qu* p*r l* Loi.

*rti*l* V
L* Loi n’* l* *roit ** *éf*n*r* qu* l*s **tions nuisi*l*s à l* So*iété. Tout ** qui n’*st p*s *éf*n*u p*r l* Loi n* p*ut êtr* *mpê*hé, *t nul n* p*ut êtr* *ontr*int à f*ir* ** qu’*ll* n’or*onn* p*s.

*rti*l* VI
L* Loi *st l’*xpr*ssion ** l* volonté génér*l*. Tous l*s *itoy*ns ont *roit ** *on*ourir p*rsonn*ll*m*nt, ou p*r l*urs R*prés*nt*nts, à s* form*tion. *ll* *oit êtr* l* mêm* pour tous, soit qu’*ll* protèg*, soit qu’*ll* puniss*. Tous l*s *itoy*ns ét*nt ég*ux à s*s y*ux, sont ég*l*m*nt **missi*l*s à tout*s *ignités, pl***s *t *mplois pu*li*s, s*lon l*ur **p**ité, *t s*ns *utr* *istin*tion qu* **ll* ** l*urs v*rtus *t ** l*urs t*l*nts.

*rti*l* VII
Nul homm* n* p*ut êtr* ***usé, *rrêté, ni *ét*nu qu* **ns l*s **s *ét*rminés p*r l* Loi, *t s*lon l*s form*s qu’*ll* * pr*s*rit*s. **ux qui solli*it*nt, *xpé*i*nt, *xé*ut*nt ou font *xé*ut*r **s or*r*s *r*itr*ir*s, *oiv*nt êtr* punis ; m*is tout *itoy*n *pp*lé ou s*isi *n v*rtu ** l* Loi *oit o*éir à l’inst*nt : il s* r*n* *oup**l* p*r l* résist*n**.

*rti*l* VIII
L* Loi n* *oit ét**lir qu* **s p*in*s stri*t*m*nt *t évi**mm*nt né**ss*ir*s, *t nul n* p*ut êtr* puni qu’*n v*rtu *’un* Loi ét**li* *t promulgué* *ntéri*ur*m*nt *u *élit, *t lég*l*m*nt *ppliqué*.

*rti*l* IX
Tout homm* ét*nt présumé inno**nt jusqu’à ** qu’il *it été *é*l*ré *oup**l*, s’il *st jugé in*isp*ns**l* ** l’*rrêt*r, tout* rigu*ur qui n* s*r*it p*s né**ss*ir* pour s’*ssur*r ** s* p*rsonn*, *oit êtr* sévèr*m*nt réprimé* p*r l* Loi.

*rti*l* X
Nul n* *oit êtr* inquiété pour s*s opinions, mêm* r*ligi*us*s, pourvu qu* l*ur m*nif*st*tion n* trou*l* p*s l’or*r* pu*li* ét**li p*r l* Loi.

*rti*l* XI
L* li*r* *ommuni**tion **s p*nsé*s *t **s opinions *st un **s *roits l*s plus pré*i*ux ** l’Homm* : tout *itoy*n p*ut *on* p*rl*r, é*rir*, imprim*r li*r*m*nt, s*uf à répon*r* ** l’**us ** **tt* li**rté, **ns l*s **s *ét*rminés p*r l* Loi.

*rti*l* XII
L* g*r*nti* **s *roits ** l’Homm* *t *u *itoy*n né**ssit* un* for** pu*liqu* : **tt* for** *st *on* institué* pour l’*v*nt*g* ** tous, *t non pour l’utilité p*rti*ulièr* ** **ux *uxqu*ls *ll* *st *onfié*.

*rti*l* XIII
Pour l’*ntr*ti*n ** l* for** pu*liqu*, *t pour l*s *ép*ns*s *’**ministr*tion, un* *ontri*ution *ommun* *st in*isp*ns**l*. *ll* *oit êtr* ég*l*m*nt rép*rti* *ntr* tous l*s *itoy*ns, *n r*ison ** l*urs f**ultés.

*rti*l* XIV
Tous l*s *itoy*ns ont l* *roit ** *onst*t*r, p*r *ux-mêm*s ou p*r l*urs R*prés*nt*nts, l* né**ssité ** l* *ontri*ution pu*liqu*, ** l* *ons*ntir li*r*m*nt, *’*n suivr* l’*mploi *t *’*n *ét*rmin*r l* quotité, l’*ssi*tt*, l* r**ouvr*m*nt *t l* *uré*.

*rti*l* XV
L* So*iété * l* *roit ** **m*n**r *ompt* à tout *g*nt pu*li* ** son **ministr*tion.

*rti*l* XVI
Tout* So*iété **ns l*qu*ll* l* g*r*nti* **s *roits n’*st p*s *ssuré*, ni l* sép*r*tion **s Pouvoirs *ét*rminé*, n’* point ** *onstitution.

*rti*l* XVII
L* propriété ét*nt un *roit inviol**l* *t s**ré, nul n* p*ut *n êtr* privé, si ** n’*st lorsqu* l* né**ssité pu*liqu*, lég*l*m*nt *onst*té*, l’*xig* évi**mm*nt, *t sous l* *on*ition *’un* just* *t pré*l**l* in**mnité

mercredi 13 janvier 2010

fondation /

photo - Gwen Franzin-Régniez

11 - Fondation

Fonder, c'est la première parole. On établit alors les fondements de l'oeuvre. La fondation est donc corps très spécifique. Elle peut être même corps par excellence, puisant au coeur l'origine. La capacité de fondation donne celle de commandement et dote celui qui en a l'usage de l'aura nécessaire à qui vise l'or de l'autorité.
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mardi 12 janvier 2010

voile


4.
Lu et approuvé, obéissez à l'obligation ; Lu et approuvé, les murs de votre maison sont trop obscurs, y a-t-il une cave ? que dissimulez-vous ? nous savons que vous présentez un risque potentiellement sécuritaire

5.
la burqa n'est pas sur le visage
la burqa est singulière, longue, inattaquable par la loi.

7.
que lisez-vous ? des lectures dangereuses ?
que faites-vous ? comment le faites-vous ?
le faites-vous souvent ? êtes-vous aidé ? et vos fréquentations ?
vous venez souvent, là. vous tirez les rideaux très tôt le
soir ; votre maison est une burqa, pas moyen de savoir
vraiment
ce qui se passe, entre les murs, danger,
maison potentiellement sécuritaire. maison burqa.
foyer potentiellement sécuritaire.

8.
il dit : pas de burqa car "nous ne vous faisons pas confiance" mais nous avons
un projet de société ; contraignant, vous présentez un risque potentiellement sécuritaire, nous devons vous voir ; nous vous ordonnons d'être vu, d'être visible, d'être déchiffrable, pas cagoulé, pas vous, vous devez être lisible, être compréhensible. Lu et approuvé pour rester lisible.

14.
désapprobation du voile. désapprobation de l'interdiction, du prêt-à-penser
sécuritaire. facilité de pensée de principe, de l'utilisation de la peur, simplisme. donner raison à la demande de "réfléchir".

15.
Sur le fond, " si une loi interdit la burqa, ces femmes auront toujours la burqa (...)". oui. dans mon pays, le silence du visage parle comme son sourire seul. est un premier soleil. pas en vie de vivre sans visage.

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A.
Le député-maire socialiste d'Evry, Manuel Valls, a réaffirmé qu'il souhaitait une loi pour interdire le voile intégral et a estimé que la sanction contre son port pourrait être fixée à 750 euros, comme l'a proposé Jean-François Copé, patron des députés UMP.

"Il faut une loi pour interdire la burqa dans l'espace public, même si cela ne concerne que quelques centaines ou quelques milliers de femmes" car il s'agit d'"un message de portée universelle" adressée par la France, a affirmé M. Valls sur France Info.

La première secrétaire du PS, Martine Aubry, a réitéré mardi son opposition à une loi estimant que le droit actuel permettait d'"empêcher" le port de la Burqa. En revanche, le Premier ministre, François Fillon, s'est rallié mardi au principe d'une loi. Jean-François Copé avait estimé la semaine dernière que son port pourrait être passible d'une "contravention, probablement de 4ème classe, c'est-à-dire de 750 euros".

B.
Burqa: Martine Aubry "demande de réfléchir" et ne pas oublier "les priorités" des Français AFP | 19.06.2009 | 09:58
"Je demande qu'on essaie de réfléchir de la manière la moins simpliste possible" sur le port de la burqa, a déclaré vendredi la Première secrétaire du PS Martine Aubry, tout en jugeant que les Français ont d'autres "priorités".

"C'est un vrai sujet, je demande qu'on essaie de réfléchir de la manière la moins simpliste possible", a souligné Martine Aubry sur RMC-Info/BFM-TV. "Je voudrais trouver les bons moyens de lutter contre, et pas une réponse simpliste pour se faire plaisir et faire peur, alors que nous avons à mettre toutes nos énergies pour que les Français vivent mieux", a-t-elle souligné.

"Il y a aujourd'hui des priorités: faire une enquête parlementaire pour savoir ce qu'ont fait les banques de l'argent qu'on leur a confié, le nombre d'entreprises qui licencient pour augmenter leurs résultats financiers et non pas parce qu'elles ont des difficultés économiques", a-t-elle avancé. "Voilà ce que nous demandent les Français, n'essayons pas de changer de terrain".

Sur le fond, "
si une loi interdit la burqa, ces femmes auront toujours la burqa mais elles resteront chez elle et on ne les verra plus: est-ce qu'il ne faut pas travailler par l'éducation, par l'insertion de ces populations par un grand débat sur la laïcité?", a avancé la maire de Lille, qui est "évidemment contre la burqa".

lundi 11 janvier 2010

dimanche 10 janvier 2010

samedi 9 janvier 2010

p r e v i o us l y u n i s s u e d


photos nouvelles 52 / B Minor Waltz (For Ellaine), richard avedon. catherine cabrol. françoise saur. grégoire eloy. frédéric leloux. erick derac. anna katharina scheidegger. adrien cater.] LIGETI - Chamber concerto six encores - Ramifications - string Quartet N°2 chemin de campagne - aventures et Lux aeterna ] VOLODUS plays Liszt ] La belle époque ; You must believe in spring, thierry caens, michel becquet, bruno fontaine ] René AUBRY - seuls au monde ] noir éden et blanc / show / imprécision / Gary's Theme, GANASSI - Io amai sempre ] we will meet again (For Harry), Jacques Prévert Paris la belle ] The peacocks, luciano BERIO - Andrea Lucchesini touch ] Sometime ago, BACH Oster oratorio canzonetta ] Le surréalistes Une génération entre le rêve et l'action ] CCP n°17 : dossier Paul Celan / Ghérasim Luca grille de parole ] Theme from M*A*S*H, BARCELO la rose de personne | MUNDO photographies ] orgues le choeur des anges ] Bill Evans You Must Believe In Spring.

vendredi 8 janvier 2010

mardi 5 janvier 2010

lundi 4 janvier 2010

, un renforcement



En cette fin d'après-midi de lundi de
Faibles chutes de neige tombent çà et là
Mais ne tiennent pas au sol, un renforcement
Des chutes de neige est toutefois en cours
Sur la Vendée et le sud du Poitou Pour les
Prochaines heures de nouvelles précipitations
Arrivent par l'océan et vont venir buter
Contre l'air froid qui persiste de la Vendée
Au Poitou au Massif central et au Lyonnais
Au cours de la soirée et de la nuit les chu
Tes de neige vont être très régulières.
______________

Il est des jours jolis, tombent ça et là,
et longtemps.

dimanche 3 janvier 2010

leurs maigres mots ...




Langes
tout premiers les
rayons / dans le rocher

à celle qui s'amuse
comme le cerf pris
lorsque le cerf et
le désespoir ont des ailes

traces des lémures.

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une table des matières
avec les mots de Pierre Jean Jouve
un peu détournés,
partiellement reproduite
ici, partiellement

samedi 2 janvier 2010

Chambre 108 /



Alternantes reçoit dans la chambre 108 de l'hôtel Pommeraye un auteur invité par la très active Maison de la Poésie de Nantes,

La Chambre 108 et ses 35 entretiens c'est vraiment ICI.

vendredi 1 janvier 2010

(Farfalle)



Temps de cuisson: 12 min

Les Farfalle naissent d'anciennes pâtes qui se faisaient à la maison en Emilie-Romagne en serrant avec les doigts la partie centrale d'un carré d'abaisse.

Ainsi modelées, les pâtes prenaient une forme très fantaisiste.

Le n°1 des pâtes en Italie a allégé la forme d'origine des Farfalle, en s'inspirant justement des créatures légères de l'air (Farfalle est la traduction en italien de papillons).

Aujourd'hui les Farfalle sont parmi les formats préférés des amateurs de la cuisine raffinée et originale dans laquelle les chefs cuisiniers italiens sont des maîtres.

Les Farfalle ont la forme légendaire et la vivacité de la couleur lumineuse du blé et du soleil. Les pâtes, coupées en carrés, sont légèrement pincées au centre, où l'épaisseur est plus compacte, tandis que les ailes sont plus fines et plus légères.

Les Farfalle aiment en effet voler de saveur en saveur, en se mariant à plusieurs combinaisons, surtout celles les plus délicates à base de légumes et de poisson, sans jamais perdre la caractéristique cuisson al dente (cuites à point).

Leur forme originale les rend protagoniste du panorama gastronomique italien le plus raffiné, choisie avec une volubilité intrigante, insolite et traditionnelle. Mais pour prouver leur éclectisme, les Farfalle ne se soustraient pas non plus au rendez-vous avec les parfums et les saveurs les plus intenses de la tradition, comme dans la recette avec des fèves et du lardon spécial aux fines herbes originaire des montagnes du Nord de l'Italie.