skip to main |
skip to sidebar
L'ou ...
est à
coté d'un peu de nuit /
pas éteinte
frotte contre les
volets cloués
à la fenêtre
Bruit et
ci-jointe à elle ;
il y a merci et
vous dites en tirant
fortement
le fil
est bruissement
de
L'ouest nuit même :
à rebours dites - vous
jusqu'au lié
de son sourire.
Lou ne connaît pas l'oubli
RépondreSupprimer... se souvient de tout,
RépondreSupprimerse souvient de toi
et de la nuit
La mémoire d'un affamé, le coude au front, De Luce croise du regard les langues de sables affolées par le goût du sang du crépuscule.
RépondreSupprimerLe vent claque les capes les toiles, inonde de chaleur les torrents de poussière - inlassablement, infatigablement, inaltérablement - soude au sol les pas des simples égarés, flotte.
"Vole nos âmes, prends nos corps!... Viens! Viens!... Cours!... Cours enfin, va-t'en! "
écrire les mots
RépondreSupprimerarrachent
l'un des plus admirables
l'affluent du fleuve
de l'oubangui
de la sangha
de la likuoala /
de quel esprit de sangha ?
Mes mots émergent aux confluents. A l'exact point où les courants étrangers se violentent...
RépondreSupprimerLassés aussitôt-oxydés, ils paressent en méandres souples vers l'océan de perles, gardant en souriant leur plus intime secret... "Arc de coton".
Pourrais-je n'être qu'un écho?...
RépondreSupprimer