Le jour qui pénétrait par raies jouait avec les lames du plancher cuivrant les orbes et les creux d'ombre d'ébène. Glissant immobile de l'une à l'autre il semblait se rendre maître de la course du monde, forçant l'arrêt du clignement de l'œil. Le monde, un décor, rendait les armes et se taisait - vain, inutile, tandis qu'un filet de cire s'évaporait du bois réchauffé. Les mains au creux du cou étaient couvertes de sueurs légères.
il vit aussi le jour à Fowlshiels dans le Selkirkshire le 11 septembre 1771. Après avoir fait des études de médecine, il devient chirurgien. Passionné de voyages il se porte volontaire pour trouver les sources du Niger, à la Société Africaine de Londres.
A ce stade, si mes commentaires sont en définitives gênants, dîtes-le. Je suis ici, parce qu'au hasard, je semblais en sécurité. Mais ma pensée étant moins souple que la vôtre j'ai pu m'endormir et manquer une station. Je ne voudrais pas vous être une claudication. La vérité ne blesse pas les sens.
Peut-être l'auteur ne dit-il mot et consent... Une lectrice, quant à elle, vous trouve si prolixe que sans doute mûr(e) à point pour inventer vos sources dans un espace à vos couleurs... On fait le coucou, on teste des cocons, des couettes et des mots... Un jour, c'est bien de dire au-revoir et de se lancer... Leçon des oiseaux.
MungoPark alors oui lancez-vous alors oui ouvrez vos pages et vos ailes de géant et faites connaitre quand vous le voudrez / quand vous volerez / l'adresse de vos pages où lire vos mots à jours ; bon vol à vous ! non la Table des Matières n'est pas un lieu d'insécurité - bien au contraire !
Le jour qui pénétrait par raies jouait avec les lames du plancher cuivrant les orbes et les creux d'ombre d'ébène. Glissant immobile de l'une à l'autre il semblait se rendre maître de la course du monde, forçant l'arrêt du clignement de l'œil. Le monde, un décor, rendait les armes et se taisait - vain, inutile, tandis qu'un filet de cire s'évaporait du bois réchauffé.
RépondreSupprimerLes mains au creux du cou étaient couvertes de sueurs légères.
il vit aussi le jour à Fowlshiels dans le Selkirkshire le 11 septembre 1771. Après avoir fait des études de médecine, il devient chirurgien. Passionné de voyages il se porte volontaire pour trouver les sources du Niger, à la Société Africaine de Londres.
RépondreSupprimerL'horizon ne s'atteint jamais : le voyage, toujours le voyage.
RépondreSupprimerLe désir ne s'éteint jamais : le voyage, toujours le voyage...
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RépondreSupprimerA ce stade, si mes commentaires sont en définitives gênants, dîtes-le.
Je suis ici, parce qu'au hasard, je semblais en sécurité. Mais ma pensée étant moins souple que la vôtre j'ai pu m'endormir et manquer une station. Je ne voudrais pas vous être une claudication.
La vérité ne blesse pas les sens.
Peut-être l'auteur ne dit-il mot et consent...
RépondreSupprimerUne lectrice, quant à elle, vous trouve si prolixe que sans doute mûr(e) à point pour inventer vos sources dans un espace à vos couleurs...
On fait le coucou, on teste des cocons, des couettes et des mots...
Un jour, c'est bien de dire au-revoir et de se lancer...
Leçon des oiseaux.
MungoPark alors oui lancez-vous alors oui ouvrez vos pages et vos ailes de géant et faites connaitre quand vous le voudrez / quand vous volerez / l'adresse de vos pages où lire vos mots à jours ; bon vol à vous ! non la Table des Matières n'est pas un lieu d'insécurité - bien au contraire !
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