vendredi 26 juin 2009

Poème premier ...

Son nom. Le secret d'une musique. __le chant des mains à l'oeuvre et la vivante nuit .Sans clef. Source d'ébène. Son nom. Le secret. De chêne. Lucarne à l'autre été. OùAmont ce regard. Lucarne l'aimée. (TelleRuelle tant recherchée, où je me suis toujours égaré). Fuite l'alto. Quand par là. Sans nom. Mais de l'autre coté de toi. (Le secret ce passage). Immédiat contre là. __où le parc compte__dans sa courte vie, passé à coté du feu__cet autre fermant le chemin.(Dans ce parc où nous étions allongé). Par mégarde. Franchissement. Par mégarde anonyme. (Ecouter la première fois). Derrière le souvenir. Fa loin de là. Fa au dessus de toi. Fa si seulement Si. Dorénavant mes mains sur mi. (Pas le choix de s'égarer). Volontairement. EncoreAu détour. (où ce passage, si tôt la première fois). Mots les plus purs.

__Eut-il, comme nous, contentement du jour et des saisons ? Nuages doux et gris,

Un trajet. Fugue. Fugue sans prélude. Fugue immédiate. Pure de l'eau le Cantor. Abîme. __le dos endroit des culpabilités davantage que la joue. Que rien n'interrompt. Et maintenant, hors de ce temps, mesuré de la musique. Sujet. Contre-sujet, l'exposition. d'un drame / s'interrompt qu'elle aime à reprendre __ et peu vêtue de drap, excitée au livre. Frémissement. (Peut-être l'insistance l'hésitation mais ton sourire). Coeur dentelé. Trottoir vers __Kensington, elle marchait, nous la suivions, Et maintenant,

Quoi. Quelle autre drame. Sans lignée. Avancée maisLourd comme solitaire inscrit de ligne : on y soupçonne refrains, fugues, prélude et fugue. On y soupçonne variations. Mesure de Diabelli de Goldberg. Bribes de mots. Tamis étouffés. Où propice. Où désirante. Où saisissante. dans l'inflexion des circonstances. Fa au-dessus de toi. Contre et pluie quand

__j'y fus une joie m'y ravissais de la lumière

Ou l'agora. Son nom. Le secret d'une musique. Oeuvre sans mesure :

Où tu pourrais croire
après quelques mesures
l'oeuvre les
préludes
écoutés où toi
en jeu les variations
le jouer inlassablement
l'été à l'ombre où
jouer à haute voix comme
si je marchais vers
toi Mi où
Elle inlassablement.

Franchir. Franchir l'eau de là. Aube arbres sévères. Crissement __l'aubier les prénoms de l'aurore__non la poésie ne montre mais elle. Ce dernier poème de René Char que je cécité de mémoire. Ne montre rien. ne s'arrête. Ne s'inventerait. (Tourner ensemble __dans une robe obscure qui encadre le dos justement un signe de connivence). Marcher. Marcher leFranchir. l'affranchir. Caché l'épaule fortement dans le soir. Dos son âme __ et qui chante et lui donne Assez d'amour pour mettre à feu cette nuque tendre s'incline.
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Dans cette friche les poètes cités :
- René Char
- Philippe Delaveau
- Alain Duault
- Sophie Loizeau

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