mardi 2 juin 2009

Affetti ...


I.
Au coeur de la pensée. Voix. Calme édifice. Eloquente. Ainsi émouvante. Polyphonique et divine. Sphères. Corps humain. Aussi corps de pensée. Dorénavant corps de voix calme édifice. Mais tout écroulé. Mais tourment. Secoué dans son âme. Passion charnelle. Désormais angoisse de la mort. Au coeur de la pensée. Ainsi une voix. Seule calme éloquente. Edifice. Peinture d'Elisabetta Sirani. Aussi l'expression. Visage tourmenté. Secoué. De son âme. Malmenée. Naître une musique les voix. Les affetti. Alors replis de passion.

II.
Au coeur de la pensée. Toujours une voix. Encore calme édifice. Divine harmonie. Sphère dans son âme. Dans son corps. Texte poétique et le coeur. Déclamations imitatives. En outre ornementales. Au coeur. De sentiments. D'instruments. Des textes imaginaires. Et mimes individuels. Voici la comédie. En de vastes fresques. Madrigal et cantates. Mais Ariane l'abandonnée. Mais le navire de Thésée. Enharmonie. Tempête. Récitatif pour une aube.

III.
Au coeur de la pensée. Où tout l'écroulé. Où place au tourment. L'éboulé. Tourment l'eau. De terre. Coeur. Musique. De l'aria. De l'idée. Du chant. Au coeur. Théatres fermés. Sans décor ni clef. Immensité. Sons infinis. Encore sons interdits. Sons suppliants. Remémoration. Au coeur de la pensée. L'incoronazione di poppéa. Lamentation par la délaissée. Ici le navire de Thésée. Au supplice éloquence. Douleur. L'éprouvée.

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