Il n'était pas une fois le matin à fermer les mots l'écrire La nuit revenir au hasard où l'on nage le clair de l'eau on oublie le matin les gestes plongés dans la mer à l'intérieur du quoi et ton visage le choisir de l'eau posée sur la table du réveil Il pleut encore le mêler de ton visage retourne quelques cartes du désert L'eau de St Macaire au pas assez nord de l'hostilité du doute de la route où ton visage le dit de l'énuméré ton visage vint de vent sous mes lèvres aussitôt couchées.
Il n'était pas une fois les rives d'heures agacées contre l'amer L'horizon j'aimais sa robes les couleurs à sa poursuite quand il s'effaçonne peut-être relier le perdu de l'écrire l'inconnu comme le hasard le grand ce monde où de mains en roses adossées contre les escales Les griffes légères en continuo le courant avec voile levé des mémoires endiablées de sable Fleurir le souffle Attendre les escales - chagrin lié au creux de mes mains - le dire plongé dans ton coeur de laine.
Il n'était pas une fois les rives d'heures agacées contre l'amer L'horizon j'aimais sa robes les couleurs à sa poursuite quand il s'effaçonne peut-être relier le perdu de l'écrire l'inconnu comme le hasard le grand ce monde où de mains en roses adossées contre les escales Les griffes légères en continuo le courant avec voile levé des mémoires endiablées de sable Fleurir le souffle Attendre les escales - chagrin lié au creux de mes mains - le dire plongé dans ton coeur de laine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire