La jeune femme assise sous un toit
de tranquillité.
La jeune femme seule sous un toit
de tranquillité.
La jeune femme jolie sous un toit
de tranquillité.
La jeune femme amoureuse sous un toit
de tranquillité.
La jeune femme sous un toit
de tranquillité.
jeudi 30 avril 2009
mercredi 29 avril 2009
Ben Ami Koller ...
"rouge l'empreinte
aux bords laissée
comme un poinçon
la distance d'un sceau
ce cachet turgescent
supplée à la nomination
et signe l'appel"
Serge Ritman (Tu réponds le vertige des corps, Ici è Là)
mardi 28 avril 2009
Ecart ...
"La question à se poser sans cesse : par où et
comment rendre la nuit du rêve aux hommes ?"
René Char (Aversions, Le Nu perdu)
lundi 27 avril 2009
Petite annonce ...
Si vous recherchez
- ça arrive
un diplomate qui soit
à la fois
photographe net ou pas autant
auteur que lecteur tout à la fois
(très auteur et très lecteur)
auditeur de notes et de blue notes
(O.Messiaen voyait également des sons des couleurs )
(admettez qu'il s'agit bien d'une référence)
un consul pas falsificateur
de faux billets non tout au contraire un faiseur
de héros "we can be heroes"
ou de commissaire et de princesse
car la liste est vertigineuse
de Simon (détective) et d'autres anges
entre la ballade de Simon (détective) et de la princesse
"nue et belle à vomir"
entre l'ABC du Gothique et tant d'autres lettres
si vous cherchez un consul un seul
dans le train la « Flèche Rouge » / au Rex
ou anonyme triestin même cousin de Fragonard
un consul qui
n'a pas encore tout avoué tout dispensé sur papier
(argentique)
si vous recherchez un consul vous
qui sans dire un seul mot vous
qui sans un geste et sans un soupir
si vous recherchez un consul vous
qui sans lutter sans défendre vous
qui sans mentir d'un seul mot
et sans qu'aucun
des consuls ne soient
tout à la fois autant que ses mots
jamais sceptiques ses mots
jamais destructeurs
non
(post-it : faire une Friche de lecture #)
si vous cherchez un consul qui soit
entre "Flèche Rouge" et Night Train
(The Oscar Petterson trio etc.)
alors - déjà sonné avant d'entrer
soyez là :
présent au portail lecteur
présent au portail photographe
présent au portail écrivain
c'est bien là :
où vous entrez sans sonner
c'est Le Consul
/
où dit plus simplement :
entrez !
Le Consul vous attend -
et sachez que c'est bien là.
- ça arrive
un diplomate qui soit
à la fois
photographe net ou pas autant
auteur que lecteur tout à la fois
(très auteur et très lecteur)
auditeur de notes et de blue notes
(O.Messiaen voyait également des sons des couleurs )
(admettez qu'il s'agit bien d'une référence)
un consul pas falsificateur
de faux billets non tout au contraire un faiseur
de héros "we can be heroes"
ou de commissaire et de princesse
car la liste est vertigineuse
de Simon (détective) et d'autres anges
entre la ballade de Simon (détective) et de la princesse
"nue et belle à vomir"
entre l'ABC du Gothique et tant d'autres lettres
si vous cherchez un consul un seul
dans le train la « Flèche Rouge » / au Rex
ou anonyme triestin même cousin de Fragonard
un consul qui
n'a pas encore tout avoué tout dispensé sur papier
(argentique)
si vous recherchez un consul vous
qui sans dire un seul mot vous
qui sans un geste et sans un soupir
si vous recherchez un consul vous
qui sans lutter sans défendre vous
qui sans mentir d'un seul mot
et sans qu'aucun
des consuls ne soient
tout à la fois autant que ses mots
jamais sceptiques ses mots
jamais destructeurs
non
(post-it : faire une Friche de lecture #)
si vous cherchez un consul qui soit
entre "Flèche Rouge" et Night Train
(The Oscar Petterson trio etc.)
alors - déjà sonné avant d'entrer
soyez là :
présent au portail lecteur
présent au portail photographe
présent au portail écrivain
c'est bien là :
où vous entrez sans sonner
c'est Le Consul
/
où dit plus simplement :
entrez !
Le Consul vous attend -
et sachez que c'est bien là.
dimanche 26 avril 2009
samedi 25 avril 2009
vendredi 24 avril 2009
mercredi 22 avril 2009
Monfort ou ...
Un.
marteau piqueur cherche
un trésor de terre ou de bois
dans la gueule du chien.
A.
cette heure la lune est garée
contre une voiture supporte
l'essouflement l'envie de revenir
sur le devant de la scène.
Avec.
un chocolat en ville les escaliers
silencieux pendus aux clochers
les minutes dévalent les pentes
de Monfort qui au pied de l'escalier
qui refaisant son boléro.
Tu.
t'avances vers le
brouillard à dissiper un peu
de ciel les murs entre il y a
certainement quelques miroirs
à briser de mauvais lampadaires
à musiques peu classiques Où
Le.
marteau cherche son trou Où
il fouille comme je pense
- archéologue -
aujourd'hui.
Les.
chasseurs ont disparu la terre
pendues aux poignets percer
d'anciens murmures percer pour
de ruines mauvaises raisons
Il.
s'agit bien de mal honneteté
de la peur sous les pierres Encore
moins d'échardes encore moins
on le lui dit à plusieurs des fois
reprises on insiste
Moins.
de raisons de barrières pour
chasser l'hiver et les granges
Ils attendent ils attendent donc
les fondations la poterie les clefs
l'armure c'est à dire des murailles
qui soufflent des clous Tu
Regardes.
l'écheveau mais dans quoi tisse-t-
elle consacre le peu de lumière
dans les doigts disent approba
tion et soulagement quand les
chasseurs verdissent l'envol avec
un funambule.
Il.
s'agit en effet d'un jardin avec
une petite porte avec des livres
au coeur des pierres les lettres
qui disent qui dansent les lettres
avalent dévalent les jardins
finalement tes yeux couleurs
jardins
De Seine.
il est confirmé l'incendie avec
les marteaux puisque les
pierres puisque Monfort puisque
le boléro ton ventre de danse il
est confirmé que tes flammes
brulantes en transe.
La.
petite porte du jardin vole
librement entre les pierres et
les libellés les calendriers et
les calendriers de nuages de
mots il est rappelé que les
chasseurs et les clochers tous
font des mots sans règles
présence du désordre.
C'est.
de fil en aiguille dans la gueule
du chien que retrouveront
en cherchant bien chez
celui qui écrit le plus fort ?
C'est.
étrangement que respir puisque
la langue des pierres est
étrangère au frémir et l'endroit
du jamais c'est étrangement
une table tenant par un fil en
aiguille etparlant couramment
c'est étrangement comprendre
Pour.
un autre et le méprendre dans
l'absolument irrésistible c'est
irresistiblement car je cécite
depuis que son train avait passé
les faubourgs et les fumées de
Charleville, il semblait à
l'aspirant Grange que la laideur
du monde se dissipait : il
s'aperçut qu'il n'y avait plus en
vue une seule maison.
mardi 21 avril 2009
lundi 20 avril 2009
Gakona (2) ...
I.
Puisque ne vient
tes épaules aux carreaux
puisque de terre
bleuie
où séjourne - lumière
puisque du haut
de la tour le balcon
en forêt le dire séjourne
et le rivage
encore éloigné.
II.
Puisque souffle ne rien
ou bouge de silence
puisque ses
hanches l'été le paraitre
de mémoire
puisque d'une voix
trébuche le retard
se rétablir sinon les voix
les voix de l'été.
III.
Puisque Lebesgue
ses tribus démesurent
un départ l'horizon
de penser
puisque de l'autre d'un
dehors le sel le toujours
puisque le penser
le long le mélange
un fruit de désir
le jamais
un désir d'été le toucher.
IV.
Puisque les obscurcis
"le jour
à peine
écrit" les jardins
de Foulon
te rappelles tu
des jardins de Foulon ?
V.
Puisque haute et
basse tes
jardins verts de Galia
de Gala
mon été.
Terme : applicatif ...
Une application
(ou fonction) f est la donnée de deux
ensembles, l'ensemble de départ E et
l'ensemble d'arrivée F, et d'une
relation associant à chaque élément x
(sans connotation) de l'ensemble de
départ UN ET UN SEUL élément de
l'ensemble d'arrivée, que l'on appelle
image de x par f et que l'on note f(x).
Exemple : un baiser applicatif
à l'image d'un couple (et pas d'une tribu,
ni d'une relation tributaire
Exercice pratique : work in progress).
(ou fonction) f est la donnée de deux
ensembles, l'ensemble de départ E et
l'ensemble d'arrivée F, et d'une
relation associant à chaque élément x
(sans connotation) de l'ensemble de
départ UN ET UN SEUL élément de
l'ensemble d'arrivée, que l'on appelle
image de x par f et que l'on note f(x).
Exemple : un baiser applicatif
à l'image d'un couple (et pas d'une tribu,
ni d'une relation tributaire
Exercice pratique : work in progress).
dimanche 19 avril 2009
vendredi 17 avril 2009
Février ...
I.
Puisque voir à la nuit
le précoce et le devenir
puisque j'entends leurs pas
de fouille au dos du chemin
puisque d'un autre de très haut
et le demain du jamais
puisque je cerf et le revenir
l'aube et le temps du sinon
puisque je ce Toi et ton Nom
sans qu'encore le jamais.
II.
Puisque chaque secrète
où résonnant de l'ombre
et la pluie profonde
puisque peu ou de rêve
sur les matins de trêve
puisque vers l'enfance
fermée le provisoire
puisque l'herbe et l'obscur
prenant de rive et de pensée.
III.
Puisque de revers et de pauvre
le départ de ta main
puisque de nage en nage
vers moi me parle d'aimer
ton visage et de nuit.
IV.
Puisque de sortie à deux
un morceau ce futur le mot
puisque de roses et devenir
l'avenir fournira au seuil
l'aube le plié au dos d'alors.
V.
Puisque de grappes ou
bien vin de longues saisons
puisque de caresses et
de bois contre toi s'achèvent
puisque bouche de faire aimer
de respir n'a pas de lettre
puisque c'est le marcher où
tu sera contre nous n'est pas loin.
VI.
Puisque l'indécise et le noir
refait le courir et le jour
puisque la nuit de tes mains
le sourire de ton descendre
puisqu'oublié de trop de jour
les pâleurs de pas tes hanches
puisque dans l'oubli pousse
une frontière des frontières.
VII.
Puisque l'olivier n'est pas
encore dos des toujours
puisque la nuit ou l'absence
puisque ton respir et le triste
puisque de l'ombre où faire
et remonter de l'aimée.
VIII.
Puisque sortir le partage
la prise et défaire et deux
de nous que ton seul sourire
ton B. du plus bord contre
le bord des dernières ou
puisque le sourire de l'étage
le cinquième et d'un mot.
IX.
Puisque le chemin des
- ils disent sans cesse
puisque la furieuse et
le mystère les feuillets
puisque le mur de fureurs
et sa main contre coeur
et sa main au jeu de balle.
X.
Puisque te le dire ainsi
la terre à nue ou l'histoire
l'esprit du toujours revenir
alors l'écrire à la braise
à la craie sur les hanches
et de l'herbe et le sable
Puisque voir à la nuit
le précoce et le devenir
puisque j'entends leurs pas
de fouille au dos du chemin
puisque d'un autre de très haut
et le demain du jamais
puisque je cerf et le revenir
l'aube et le temps du sinon
puisque je ce Toi et ton Nom
sans qu'encore le jamais.
II.
Puisque chaque secrète
où résonnant de l'ombre
et la pluie profonde
puisque peu ou de rêve
sur les matins de trêve
puisque vers l'enfance
fermée le provisoire
puisque l'herbe et l'obscur
prenant de rive et de pensée.
III.
Puisque de revers et de pauvre
le départ de ta main
puisque de nage en nage
vers moi me parle d'aimer
ton visage et de nuit.
IV.
Puisque de sortie à deux
un morceau ce futur le mot
puisque de roses et devenir
l'avenir fournira au seuil
l'aube le plié au dos d'alors.
V.
Puisque de grappes ou
bien vin de longues saisons
puisque de caresses et
de bois contre toi s'achèvent
puisque bouche de faire aimer
de respir n'a pas de lettre
puisque c'est le marcher où
tu sera contre nous n'est pas loin.
VI.
Puisque l'indécise et le noir
refait le courir et le jour
puisque la nuit de tes mains
le sourire de ton descendre
puisqu'oublié de trop de jour
les pâleurs de pas tes hanches
puisque dans l'oubli pousse
une frontière des frontières.
VII.
Puisque l'olivier n'est pas
encore dos des toujours
puisque la nuit ou l'absence
puisque ton respir et le triste
puisque de l'ombre où faire
et remonter de l'aimée.
VIII.
Puisque sortir le partage
la prise et défaire et deux
de nous que ton seul sourire
ton B. du plus bord contre
le bord des dernières ou
puisque le sourire de l'étage
le cinquième et d'un mot.
IX.
Puisque le chemin des
- ils disent sans cesse
puisque la furieuse et
le mystère les feuillets
puisque le mur de fureurs
et sa main contre coeur
et sa main au jeu de balle.
X.
Puisque te le dire ainsi
la terre à nue ou l'histoire
l'esprit du toujours revenir
alors l'écrire à la braise
à la craie sur les hanches
et de l'herbe et le sable
de tes là encore là de toi.
jeudi 16 avril 2009
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