Février ...

I.
Puisque voir à la nuit
le précoce et le devenir
puisque j'entends leurs pas
de fouille au dos du chemin
puisque d'un autre de très haut
et le demain du jamais
puisque je cerf et le revenir
l'aube et le temps du sinon
puisque je ce Toi et ton Nom
sans qu'encore le jamais.

II.
Puisque chaque secrète
où résonnant de l'ombre
et la pluie profonde
puisque peu ou de rêve
sur les matins de trêve
puisque vers l'enfance
fermée le provisoire
puisque l'herbe et l'obscur
prenant de rive et de pensée.

III.
Puisque de revers et de pauvre
le départ de ta main
puisque de nage en nage
vers moi me parle d'aimer
ton visage et de nuit.

IV.
Puisque de sortie à deux
un morceau ce futur le mot
puisque de roses et devenir
l'avenir fournira au seuil
l'aube le plié au dos d'alors.

V.
Puisque de grappes ou
bien vin de longues saisons
puisque de caresses et
de bois contre toi s'achèvent
puisque bouche de faire aimer
de respir n'a pas de lettre
puisque c'est le marcher où
tu sera contre nous n'est pas loin.

VI.
Puisque l'indécise et le noir
refait le courir et le jour
puisque la nuit de tes mains
le sourire de ton descendre
puisqu'oublié de trop de jour
les pâleurs de pas tes hanches
puisque dans l'oubli pousse
une frontière des frontières.

VII.
Puisque l'olivier n'est pas
encore dos des toujours
puisque la nuit ou l'absence
puisque ton respir et le triste
puisque de l'ombre où faire
et remonter de l'aimée.

VIII.
Puisque sortir le partage
la prise et défaire et deux
de nous que ton seul sourire
ton B. du plus bord contre
le bord des dernières ou
puisque le sourire de l'étage
le cinquième et d'un mot.

IX.
Puisque le chemin des
- ils disent sans cesse
puisque la furieuse et
le mystère les feuillets
puisque le mur de fureurs
et sa main contre coeur
et sa main au jeu de balle.

X.
Puisque te le dire ainsi
la terre à nue ou l'histoire
l'esprit du toujours revenir
alors l'écrire à la braise
à la craie sur les hanches
et de l'herbe et le sable

de tes là encore là de toi.