mardi 20 octobre 2009

Rue Tardieu ...

1.
c'est dans waitin' for me.
pas encore mais Monsieur, oui un rocher, encore un autre rocher !
obligez moi ! sinon waitez un peu pour moi.

on l'a coincé, vous auriez lu son écrevisse, elle avait une paille dans le panier, une véritable paille grande comme la peur !
voir la hâte
ah ah ah
la hâte !
oh écoutez, quand /

Pardonnez-moi, Madame, /

quand /

mais le train avance, oui depuis de nombreuses années déjà ; c'est simple : il a toujours avancé !
bon ça va -ça-va ils s'étageront comme des misérables !

quaaaaaand /

par là par là le dessin, par là, oui par là les petits bourgs avec couleurs et chauffeurs, oui très certainement ! et une et deux et trois !!

Merciiiiii, oh près d'un tas s'il vous plait. Je vous en prie.
Vous supplie même avec votre .. bondé ! ah comme vous avez tou-jours-é-té-bon-dé !

quand ! /

Mais sans contre-façon je voulais seulement sombrer un peu de faire-valoir, lui ai-je fondu,
combien de fois déjà ? Mais un nombre même incirculable de fois !

Chaaaarles ! mais c'est Chaaaarles tout là-bas !!!!
oui ? comment ? l'encrier au fond,
combien ?
non, je disais l'encrier au fond,

et il vient toujours ici, il est adoraaaable, une maitresse a-do-ra-ble.

Fuyez mon bon monsieur, fuyez car l'important c'est la hauteur et la superbe, sinon l'esprit salon !
VOIRE !
à Kangaroo hop point de Darling !!!
AH VOIRE !!
oh vous Jaaaacques, comme vous êtes train-sortie-boutique, le tout avec le tout et puis ..

for your country and my country !!! Long save the Keen ! AH AH !

Vous savez, le rire n'a jamais remplacé la truelle, aucunement, récréation que tout cela, deux nez, quand il était à Piano rolls, il fallait le boire dangereux, le boire promenade aussi avec se sentir presque !

AH VOIRE !

et avec pensées !! un refuge comme jamais, avec taches et cris et tout l'obligatoire !!
tout obligatoire ?
Aussi, mon pieu ! c'est vrai, c'est exact je l'avais complétement chaviré, complètement chaviré !!!

Toutes ces années sans qu'il ne souçonna rien de ce qu'elle fomenta ; oh comment dites-vous ? admirable je gite : je forêt ad-mi-ra-blement bien ! , un quart peut-être, non rien d'industriel non ; et le tout rejoué sur les noires et les yeux fermés ! un vrai Past time, non il ne soupçonna chien, vraiment, mais quelle table alors !

Je vous en prie - volontier même, j'ai mansardé le dernier - compte-rendu avec moi, c'est sidérant ; que-pieu-soit-loué-à-vil-prix si je me trompe, non ils n'ont pas encore voté la nomination du bon prince Jean Ier à la Dépense ; ivresse je vous prie, annonce d'ivresse : le jeune prince est nommé à la dépense !

En République dites-vous ?! vous savez j'en ai lu beaucoup qui serait parti depuis bien longuement
Le vote est une question de

QUAND /

tenez, c'est un deux mains ; ah Chaaaarles !!! mais c'est Jaaaaacques aussi ;

Vous savez les tasses de cette époque étaient courageuses et tout en Epoxy ;
on a même mis à jour les mignons du Louvres, enfin une partie des mignons ... , dans les ruines de Phèse ; nooooon // oh je vous assure // oohh je vous jure // ohh Paul tu enfant un pieu j't' jure !!! , non mais je te con-jure /
oh Jaaacques, qu'il s'en passe des pauses ici !! Une histoire de mignons, et machine le siège, foin de tout cela, voire vitesse même !!!

EN REPUBLIQUE DITES-VOUS ?! vous bavez .. j'en ai bu deux saouls qui rêvaient assis depuis bien longtemps !

quand / !!**@@ mais laissez moi au moins chérir le reste de la base .. oh écoutez "quand / ça se passe comme ça !!!"

??!! consternation des yeux, le fossé de la culture, le chauffeur c'est à droite, oui devant vous c'est à droite :
eeet aaaa-looOOrs ???

Pieeerre, le train est dans wait'in for me, non ? oui à tout à leurre ;
c'est ça Jaaaacques ! figurez-vous que nous l'avons rencontré alors qu'il était en pleine polonaise, avec dompteur, échasse, tas très agréable et tout un savoir - une culture, une culture immense, prêt-à-porter même, bref attiraaaance et claaasse. ah vous auriez bu ça alors !!

Mon pieu, et quelle claasse dans son Buzzin the Bee The Party même !! Attention, attention jeune pomme : le voilà, vous allez boire ce que vous allez boire vous ne serez pas deux saouls , .. regardez-même !

Ah quelle époque ! cohérence pour cohérence, vous saviez que nous ne remontions jamais avec Charles oh non ; du pain oui, avec des artistes et un endroit, comme un envers : énorme ! énoooooooorme friandise !

de nos fours, les fusées sont comme patte et soir d'artiste, bref une idée bouleversante .. nous y sommes :

écoutez ! oh ce Charles si vous saviez,
il est adorable,
et tellement gentils, ma mère, oui ma chère comme il se voit !

Oui longue vuue à la revie ! oh Pieeerre, cessez d'être idiot ;

allez, encore un village ça passe le tour ! une course avec un prix même !
oui le vote a eu lieu cette nuit derrière, il n'y avait chaconne même ! ils ont dit que ça ferait très Chinese Blues !!

Alors vive Dearshwin !!! AH Chaarles, ouuii encorrr,
Le traité du pianiste est un ouvrage extraordinaire ; c'est bien Georges qui l'a rayé non ; oh ne m'en parlez pas ! nous avions rechigné toute la soirée avec la tasse
mais sans Madame !!
ah ça oui sans Madame !!

En voulez-vous un peu ? oh vous verrez c'est du ciment et dugrand vol à répartir !
Mais Ouiiii venez-avec vous !!!
Chaaarles, rejouez le grand vol du faux bond !? vous saveeeez ????


2.
Oh Corbeille,
Oh fucking corbeille, shit -

Véritable si Mille fusées par là même ! on ne cesse jamais vous verrez !

Oh ça pour devoir, je doigt très certainement !
Chaaarles .. un doigt, oui juste un doigt, non pas davanatage ce n'est pas sérieux ..
.. certes Irlandais, mais ce Whiskey tout de peine !
montez à tribord, oui attention au bol ..
et aux faux bond mon cher ami
loin fond seau même !

oui à ce boire là ça va se voir ..
et à toute faiblesse nous éfilerons !
attachez vos ratures ! vous êtes près ?!
Proche même !!!
(Ohh Chaaaaaaarles !!!)

3.
Le salon fermera légèrement ses friandises à 21h00
Nous remercions par amende nos hôtes de restituer la totalité / tout admirable qu'elle soit.
L'inclinaison et l'orientation sont au fond à droite.
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Aidons l'hydre à vider son brouillard. Stéphane Mallarmé.

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